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il y a 5 ans
Cela faisait un petit moment que nous ne nous étions pas vus quand nous avons décidé de nous retrouver chez elle le soir même. Nous avions passé l’après-midi à discuter par message de choses et d’autres bien que, quel que soit le sujet cela finissait toujours par devenir implicitement ou explicitement érotique, d’ailleurs entre deux banalités elle m’envoyait des photos ce qui me faisait perdre le fils de notre conversation comme vous pouvez l’imaginer. C’était toujours très excitant, elle avait un don pour cela. J’avais fini par découvrir que pendant que nous discutions madame se prélassait dans un bain, elle m’avait d’ailleurs envoyé plusieurs photos d’elle où son corps était à moitié caché par la mousse, laissant à mon imagination le plaisir de faire le reste du travail.
Nous avions fini par nous donner rendez-vous à 21h dans son appartement. Sur tout le trajet qui me menait à son nouvel appartement mon esprit ne cessait de se remémorer les images et les propos qu’elle m’avait tenus lors de nos conversations. Je ne pouvais pas m’empêcher de l’imaginer vêtue d’une de ces tenues si excitantes, d’imaginer toutes les choses que j’avais envie de lui faire mais surtout certaine chose que j’avais envie qu’elle me fasse. Je finis par arriver à destination mais je restais planté là devant cette porte une ou deux minutes pour essayer de calmer mes nerfs mais surtout pour calmer mon entrejambe que mon imagination avait embrasé.
Je finis par frapper à la porte, attendant quelques secondes, je tournais le dos à la porte pour regarder un peu les alentours, lorsque j’entendis la porte s’ouvrir.
Elle se trouvait là, dans l’encadrement de la porte, une main sur la hanche et l’autre sur la poignée, un sourire magnifique sur le visage et, en la voyant, je fus surpris, sa tenue était tout à fait dans son univers tout en ayant un petit côté affriolant et excitant. Je restais là à l’observer tout en lui rendant son sourire quand elle m’invita à entrer en me saluant d’une voix sensuelle.
— Bonsoir, dis-je, affichant à mon tour un sourire d’une oreille à l’autre tentant de cacher le fait que j’étais nerveux de me retrouver là devant elle.
— Bonsoir. Je t’en prie entre, fais comme chez toi
Après avoir mis débarrassé de mon manteau et de mon sac je me retournais et ne pus m’empêcher de la regarder de la tête aux pieds. C’était comme si je la découvrais sous un nouveau jour, elle avait bien changé depuis l’époque où nous nous étions rencontrés et je voyais briller dans ces yeux un brin de malice.
J’avais l’impression d’avoir affaire à une autre personne, elle n’était plus comme dans mon souvenir, à l’époque où je l’ai connu elle n’était pas aussi sur d’elle, elle était un peu timide cela se ressentait dans son comportement et dans ces gestes, n’osant pas faire ce que ces yeux hurlaient. Son regard irradiait de désir, d’envie, et un quelque chose d’autre où je n’arrivais pas à nommer à cette époque. Mais là tout en elle n’étaient qu’assurance et confiance. Son regard était braqué sur moi, pétillant, son sourire était intense, chaleureux mais également un brin taquin. Elle qui d’ordinaire était toujours un peu timide, n’arrivant pas à faire le premier pas, la voir ainsi était un peu déroutant. Que lui était-il donc arrivé ?
Ce soir-là elle portait un kimono de soie, une tenue d’ordinaire sobre mais elle y avait mis sa petite touche personnelle rendant ce vêtement envoûtant et séduisant. Elle avait placé son obi de manière à ce que le haut de son kimono soit plus échancré, plus ouvert qu’à son ordinaire. Dessous elle semblait porter un soutien-gorge très pigeonnant, il remontait sa poitrine et laissait entrevoir la naissance de ces seins. Le reste de son corps était caché par cette pièce de tissu, elle portait une paire d’escarpins, ce qui accentuait son déhanché lorsqu’elle marchait. En la voyant si radieuse dans cette tenue, j’essayais d’imaginer ce qu’elle pouvait bien porter en dessous, je mourrais d’envie de lui retirer ce fichu kimono pour la voir nue ou du moins en petite tenue.
Elle se tenait face à moi radieuse et épanouit, un petit sourire au coin des lèvres mais ce qui me déstabilisait le plus c’était CE regard… je ne pouvais m’en détacher. Ce regard est celui qui déclenche cette alarme dans un coin de votre cerveau et qui vous dit « attention danger lubrique en perspective » s’en cesser de vous attirer à elle tel un papillon attiré par la flamme. Rien qu’avec ce regard je savais que la nuit allait être chaude et exaltante. Il suffisait d’un regard, d’un sourire ou d’un simple geste de sa part pour savoir par avance que la débauche des sens serait au rendez-vous. En réponse j’affichais mon sourire le plus malicieux, le plus séducteur tout en tentant une approche pour lui entourer la taille de mes bras, j’avais envie de l’embrasser, ces lèvres m’appelaient mais à coté de ça je ne pouvais m’empêcher de sourire de cette situation car je savais où cela nous mènerait.
Nous nous étions salué simplement mais ces lèvres, je voulais baiser ces lèvres, je finis par lui déposer un simple baiser, malheureusement ou heureusement ce simple baiser se transforma rapidement en baiser langoureux, tendre avant de devenir passionné, c’est comme si nous ne pouvions plus nous séparer. Après de longues minutes à nous dévorer, elle brisa cette étreinte en affichant un sourire railleur alors que je restai planté là le souffle cour et incrédule.
Elle resta cependant collée à moi, parcourant mes bras de ses mains en une caresse délicate, un sourire malicieux sur le visage. Elle finit par se dégager et m’invita à m’installer sur le canapé après m’avoir offert une bière mais je devais faire une drôle de tête car elle se mit à rire de bon cœur et moi de même, je n’avais pas remarqué que j’étais si échauffé.
— Comment vas-tu ? Cela fait des années qu’on ne s’est pas vus.
— C’est vrai, mais bon tu en es en partie responsable, je me trompe ?
Je ne cessai pas de lui sourire.
— J’ai quelque principe et tu étais en couple, quoique tu le sois toujours, d’ailleurs mais cela ne voulait pas dire que je n’en avais pas envie. Combien de fois j’ai rêvé de t’avoir dans mon lit
— Je vois, dis-je un, peu gêné, car j’avais déjà eu ces mêmes envies et pensées à son égard et bien d’autre moins catholique.
J’étais assis à coté d’elle et je ne pouvais détourner mon regard de sa poitrine, qui semblait m’appeler à elle. Je pensais qu’on allait avoir une de ces interminables conversations mais j’étais loin de me douter que pour une fois cela faisait partie d’un plan pour m’amener là où elle le voulait.
Elle ne cessait de me regarder dans les yeux, un petit sourire aguicheur aux commissures des lèvres. Elle s’installa à mes côtés sur le canapé mais pas n’importe comment. Positionnée de biais, son buste et son visage me faisant face, ces jambes étaient croisées de façon que la jambe du dessous soit légèrement couchée. Son autre jambe se trouvait seulement à quelques centimètres de miennes. Il lui suffirait de la tendre légèrement pour me faire du pied. Je me demandais si elle allait le faire, si elle l’avait envisagé ou bien si elle resterait simplement là. Avant j’aurais pu jurer qu’elle n’aurait rien osé faire mais ce soir… qui sait ce qu’elle me réservait.
En se positionnant ainsi, son kimono de soie dévoilait une vue pleine de promesse sur son décolleté qui glissait petit à petit sur sa jambe.
On discutait de chose banale mais je ne pouvais m’empêcher de lorgner et désirer la chute de ce morceau de soie. J’avais du mal à me concentrer, elle le voyait et elle en jouait.
Elle fit claquer ces doigts me ramenant ainsi à la réalité :
— Excuse-moi, tu disais ? On dirait que je t’ai perdu pendant quelques minutes, ajouta-t-elle en rigolant de bon cœur
Son rire était communicatif je n’ai pas pu me retenir de rire à mon tour tout en me sentant rougir jusqu’aux oreilles.
— En effet ! répondis-je en affichant un petit sourire gêné
— Et en plus il rougit, c’est mignon, continua-t-elle, avant de venir m’embrasser chastement
— Ce n’est pas gentil de se moquer.
— Qui aime bien châtie bien, comme on dit !
— C’est un peu compliqué de se concentrer lorsque tu me mets sous le nez une vue aussi ravissante et désirable.
— Dis carrément que c’est de ma faute !
— Bien sûr, que c’est de ta faute, répondis-je, en clignant de l’œil.
— La vue te plaît, alors?
— Oui, beaucoup. Tu sais comme j’aime les regarder encore plus lorsqu’ils sont si joliment mis en valeur. Le principale est encore bien dissimilée mais c’est souvent là le plaisir. Imaginer ce qui peut bien se cacher en dessous
— C’est le principe même de la séduction, montrer l’objet du désire sans trop en montrer. Laisser l’imagination faire bouillonner les fantasmes. Mis à part ça raconte comment ça se passe au travail ?
— Eh bien, comme je te l’avais expliqué, mon secteur est un peu saturé en ce moment mais mon contrat a été prolongé pour un an mais j’envisage une reconversion, j’ai déjà quelque piste intéressante.
J’avais beau faire des efforts pour essayer d’avoir une conversation avec elle mais je ne pouvais empêcher mon esprit de vagabonder, mes yeux de vouloir admirer son décolleté, mes mains de vouloir la déshabiller. Je ne cessais de me demande ce qui se cachait sous son kimono.
Portait-elle des collants ? Ou bien des bas ? Dans ce cas-là, avec ou sans porte jarretelle ? quel genre d’ensemble se dissimulait sous ce vêtement ? Mon cerveau bouillonnait mais connaissant un peu sa personnalité j’aurais pu parier pour une paire de bas, c’était ce qui lui allait le mieux. Néanmoins rien n’était jamais sûr avec elle, c’était d’ailleurs ce que j’adorais, elle finissait toujours par me surprendre de la plus exquise des manières. Elle puisait ça f o r c e dans son originalité, dans sa façon rétro d’envisager la séduction, que ce soit pour une relation charnelle ou pas. Cela finissait toujours par un véritable éveille des sens, quel qu’il soit.
Son kimono gardait pour l’instant jalousement ce secret. Je désirais l’ouvrir et enfin avoir ma réponse, admirer ce qu’elle me cachait et elle voyait bien que mon regard ne faisait que naviguer sur cette vision qu’elle m’offrait. Désireux de révéler son secret, mon imagination prenait le pas sur ma raison. Sans que je m’en aperçoive, perdu dans les méandres de mon esprit, elle était passée à la vitesse supérieure, se caressant elle-même de manière sensuelle. Elle passait le bout de ces doigts mais surtout ces ongles sur sa peau, allant et venant tout en continuant à tergiverser sur des banalités. Je suivais sa main, j’étais hypnotisé par ce mouvement, je voyais sa peau se couvrir de chair de poule, la trivialité de ce geste, en exacerbait les sensations que ça me provoquait alors qu’elle ne me touchait pas. Son sourire était provocateur et son regard racoleur, son visage irradiait la lubricité de son esprit.
Je faisais tout pour ne pas me laisser distraire par ces caresses, mais cela devenait des plus compliqués lorsque je sentis son pied se frotter délicatement sur ma jambe. Un frisson me parcourut.
Je tentais tant bien que mal de répondre intelligemment à ce qu’elle me disait, mais je n’étais pas dupe. Tout cela l’amusait, énormément même, elle obtenait ce qu’elle voulait de mon corps et de mon esprit. Elle me fit face. Elle avait posé sa main sur ma cuisse non loin de mon entrejambe. Toutes ces stimulations m’obnubilaient que je ne prêtais nullement attention à ce qu’elle faisait ni même à ce qu’elle me disait. Mettez un homme face à une belle poitrine et vous en ferez ce que vous voulez.
— Elle va bien
— Comment ça, elle va bien ?
D’abord surprise par ma réponse elle partit à rire de bon cœur.
— Je te demandais si ton déménagement s’était bien passé, poursuivit-elle, pas si ta mère allait bien !
Choqué, mon expression du exprimer mon mal aise car son rire se fit plus enjouer, partant littéralement en un fou rire auquel je ne pus résister. Je me sentais un peu idiot de m’être laissé si facilement manipuler que je rigolais à plein poumon de ma propre crédulité. Nous rigolions ensemble de cette situation si cocasse au point que nous en avions les larmes aux yeux.
Après quelques longues minutes d’un fou rire exquis nous reprenions petit à petit notre respiration.
M’essuyant les larmes au coin des yeux je repris notre conversation
— Tu disais donc mon déménagement ? Et ben ça a été j’ai quelque petit coup de peinture à donner avant de terminer de tout installer
— J’ai une petite salopette que j’utilise pour faire des travaux ; si tu veux, je pourrais venir te donner un petit coup de main.
— Non pas que je sois contre un petit coup de main, mais quand je bosse j’aime quand ça avance…
Je ne pus m’empêcher de lui faire un clin d’œil.
— Aurais-tu peur que je te déconcentre ?
— Je n’ai pas peur, j’en suis sûr ! Surtout que, te connaissant, tu m’aurais préparé une « petite surprise » histoire de bien me déconcentré.
— Tu sais que je suis joueuse !
— Oooh, oui, je le sais !!!
Nous n’avons pas résisté à l’envie qui nous tenaient de rire de nos taquineries infantiles et pourtant sans équivoque.
Nous avons ainsi poursuivi nos petites taquineries et notre conversation comme nous le faisions par message. Malheureusement après tout ça mon esprit se remplit à nouveau d’image lubrique, l’imaginant nu sous cette fameuse salopette ou mieux, en sous-vêtement pinceau à la main. Tant d’image, tant de fantasme se bousculaient dans ma tête que mon regard se remit à faire la navette entre ces yeux et son décolleté toujours camouflé par son vêtement. Qu’elle ne fut pas ma surprise quand celui-ci commença petit à petit à s’ouvrir sur le devant.
Par ailleurs, selon les mouvements, il venait à glisser peu à peu sur sa jambe, mais néanmoins pas suffisamment pour me révéler l’information que je voulais, ce qui commençait à me rendre fou.
Mais était-ce volontaire de ça part ? Comme un petit amuse-bouche avant de passer à la casserole ?
À voir la satisfaction s’afficher sur son visage il était clair qu’elle était pleinement satisfaite du déroulement de ce début de soirée.
À trop réfléchir, à trop fantasmer je n’avais pas remarqué que j’avais placé ma main sur sa cuisse, caressant du bout des doigts sa peau. J’avais délicatement réussi à faire glisser u de pan de son kimono, dévoilant l’attache de son porte-jarretelles qui maintenait ces bas noirs. Elle me laissait volontairement procéder à cette découverte. Elle s’en amusait beaucoup vu le sourire enjoué qu’elle m’adressait. Je n’avais pas voulu tenter le diable ne passant que délicatement mes doigts sous cette pièce de soie, allant jusqu’à effleurer un morceau de chair autour de son attache. Lorsque ma peau entra en contact avec la sienne, je la vis fermée les yeux une fraction de seconde, savourant, comme moi, ce contact. Elle finit par placer une de ses mains sur la mienne, la caressant comme elle c’était caressé, faisant en sorte de stopper mon exploration.
Nous avions fini notre bière lorsqu’elle m’invita à la suivre dans sa chambre. Je ne pouvais m’empêcher de rire, d’un rire bon e n f a n t . C’est vrai qu’à ce moment précis je n’en menais pas large. C’est souvent l’effet qu’elle me faisait. Elle a le charme, celui qui vous met à l’aise quelle que soit la situation. Je pensais qu’on allait enfin passer aux choses sérieuses mais elle me stoppa net un doigt sur ma bouche comme pour me faire taire alors que je m’approchais pour l’embrasser.
Elle plongea ces yeux dans les miens, un regard intense, sans se dévêtir de ce sourire quand elle me demanda de fermer les yeux. Je m’exécutai et sentis qu’elle me plaçait un bandeau sur les yeux.
— Avant de commencer, je voudrais te poser quelques questions.
— Je t’écoute.
— Avec ce bandeau sur les yeux, tu es aveugle. Peux-tu t’en remettre entièrement à moi ? As-tu confiance en moi ?
— Je ne comprends pas. Pourquoi me demander ça ?
— J’ai besoin de savoir si tu as suffisamment confiance en moi pour te détendre, pour t’en remettre à moi pour ce qui est de ton plaisir et de ton corps.
— Oui, je te fais confiance.
— Le plus important : est-ce-que je peux avoir confiance en toi ?
— À propos de quoi ?
— De la même chose. Je voudrais être sûr que si jamais je te fais mal ou si je fais quelque chose que tu n’aimes pas tu n’hésiteras pas à me le faire savoir, sans avoir peur de ma réaction.
— Oui, tu peux avoir confiance en moi. Je n’ai aucune crainte. Même si cela fait des années qu’on ne sait pas vue je sais que tu ne me feras jamais de mal volontairement. On dirait que tu as bien réfléchi à tout ça…
— Je sais que si les rôles étaient inversés j’aimerais que mon partenaire ait le même égard vis à vie de moi. Après tout, même si ce n’est que du sexe, il faut pouvoir avoir confiance en l’autre et surtout pouvoir tout se dire pour se détendre et prendre du plaisir.
Cela faisait plaisir de voir qu’elle avait réfléchi à la situation. Elle prend en compte ce que beaucoup de monde, moi y compris, ignorerait ou n’aurait pas la présence d’esprit d’y penser. La confiance est importante dans n’importe quelle relation et plus encore dans cette situation mais c’est vrai que lorsqu’on avait parlé de nos fantasmes je n’avais pensé qu’à ce qu’on aurait pu faire ou comment on l’aurait fait, partant du principe que tout aurait été OK pour elle. Mais maintenant que je me retrouvais les yeux bandés, et peux être menotté au lit, je comprends mon erreur, car si je n’avais pas eu confiance en elle je ne pense pas que j’aurais pu jouir de cette expérience comme je suis sur le point de le faire.
— Très bien, dans ce cas, maintenant, je veux que tu te détendes. Je veux que tu savoures chaque caresse, chaque baiser, chaque souffle sur ta peau. Éteins ton cerveau et laisse ton corps vivre pour toi, laisse-moi te faire découvrir ce plaisir, laisse-moi profiter de toi. Cela va sûrement te faire bizarre au début car tu ne sauras pas ce qui va venir mais lorsque tu seras bien à l’aise laisses-toi porter par tes sensations, ne réfléchit plus.
Elle ne m’avait pas encore touché que j’en étais déjà tout excité. Elle venait de me dire ces quelques mots d’une voix si sensuelle si envoûtante que j’imaginais déjà ces lèvres parcourant mon corps.
Puis le silence régna dans la chambre. Je sentais mon cœur battre dans ma poitrine, son écho résonnant dans ma tête, mon souffle s’accélérant, ma peau frissonnante. L’idée même qu’elle me touche sans que je puisse la voir semblait émoustiller mon imagination. Je ne savais pas d’où viendrait le premier assaut. Mon esprit tentait d’imaginer ce qui allait bientôt se passer, j’étais perdu dans un flot d’images, de fantasme, d’illusion.
J’étais planté là au milieu de la pièce encore vêtus et plus les minutes passaient plus la tension sexuelle montait mais également ma peur alors que ma peau cherchait son contact. Soudain une chaleur et de léger picotement commencèrent à se diffuser sur tous mon corps, juste avant que je ne sente ses doigts me frôler la main. Un soupire de plaisir franchit mes lèvres tournant aussitôt la tête dans la direction où elle me semblait être. Puis plus rien. Les secondes qui s’écoulaient semblaient durer une éternité. Je tendais l’oreille dans l’espoir de l’entendre arriver. Je la cherchais sans pouvoir la voir.
Je finis par sentir une main se poser sur mon épaule. Je l’ai senti glisser délicatement sur mon pull, se dirigeant vers mon visage. Un souffle chaud sur mon cou, un baiser sur ma peau, une main sur mon torse. Je frissonnais. Son autre main glissait sur mon flanc, se dirigeant vers le creux de mes reins et la rondeur de mes fesses. Ses mains allaient et venaient délicatement sur mon corps, je tentais tant bien que mal de suivre ces mouvements mais ne rien voir, était très frustrant. En passant sur la base de mon cou, un doigt c’était légèrement retrouvé en contact avec ma peau, il l’effleura en une caresse aussi légère que celle d’une plume. Sa main était fraîche.
Mais ce qui me fit frissonner ce fut ces lèvres, quand elle les déposa sur la peau de mon cou, déposant de doux baisers, suivant la veine jugulaire qui palpitait au rythme des battements de mon cœur. Elle entreprit de la mordiller légèrement, la douleur qui s’ensuivit me fit aspirer l’air entre les dents mais la surprise et le plaisir que cette douleur provoquait me firent pousser en même temps un gémissement de plaisir. Ces trois sensations mélangées me déconcertaient tant le plaisir que j’en tirais était nouveau. Elle reprit ces baisées remontant jusqu’au lobe de mon oreille qu’elle attrapa entre ces douces lèvres, qu’elle suça et mordilla. Elle finit par lâcher sa prise pour me dire à voix basse :
— Tu t’offres à mon regard
Tu t’offres à mes fantasmes
L’attente de mon bon vouloir te rend impatient
Toi…l’insoumis
Tu as choisi d’être ma chose
Sauras-tu lâcher prise ?
Abandonner ton corps à mes mains
À ma douceur et ma perversité ?
Savourer…simplement
Ou espères-tu pouvoir inverser les rôles ?
Après ces quelques vers, murmurer à mon oreille comme si le vent chantait pour moi, ces lèvres se posèrent à nouveau sur le lobe de mon oreille recommençant à s’en délecter comme précédemment tout en glissant ses mains sous mon pull et mon tee-shirt allant à la rencontre de ma peau nue.
Dis comme ça, cela pouvait paraître anodin mais elle savait exactement ce qu’elle voulait et l’effet que chacun de ces attouchements me procurait. Je sentis le léger contact de sa peau m’effleurer de même que ces ongles venant m’érafler, me faisant tressaillir à chaque passage. Mon cœur s’accélérait déjà alors que nous commencions à peine les festivités. Alors qu’elle passa ces ongles sur l’un de mes flancs, juste au creux de ma taille j’eus un sursaut exquis, un frisson me parcourut tout entier, faisant trembler tous mon corps tandis que son autre main remontait en une caresse légère sur mon dos. Elle finit par attr a p e r de ses deux mains le bas de mon tee-shirt et dans un mouvement fluide m’en délaissa tout en m’éraflant savoureusement les flancs de ces ongles. Je ne saurais vous décrire avec des mots l’alchimie que ces deux gestes combinés provoquaient chez moi, il suffisait pour ça de regarder mon corps trembler encore et encore, comme s’il était parcouru par des centaines de petites décharges électriques et couvert de chair de poule, rendant ma peau sensible au moindre contact. Je ne pouvais d’ailleurs pas m’empêcher de roucouler mon plaisir.
Lorsque je me retrouvai torse nu devant elle, elle laissa aller ses doigts sur ma peau nue en de délicates caresses qui furent vite accompagnées par ses lèvres. Lorsque je sentis le premier contact de ses lèvres sur mon cou un soupir frêle s’échappa de ma bouche, en un consentement. Sans m’en rendre compte j’avais placé mes mains sur sa taille afin de la tenir plus près de moi. Elle me frappa vigoureusement les mains :
— Interdiction de toucher
Malgré le fait que je ne pouvais la voir je sentais qu’elle me souriait, ce qui me fit sourire à mon tour tandis que je lui répondais tout naturellement et d’une voix taquine:
— À vos ordres madame
Je gardais donc bras et mains le long de mon corps, aussi détendu que possible dans cette situation. Soudainement elle s’écarta de moi, je ne sentais plus son contact mais un picotement dans la nuque m’indiquait qu’elle était pas loin de moi. J’en eus bien vite confirmation quand une de ses mains se posa sur mon omoplate en un geste banal, mais qui me tira un gémissement de plaisir. Elle ne faisait rien de particulier et pourtant mon corps semblait se repaître bien plus que d’ordinaire de ces caresses. C’était un traitement qui me rendait fou, surtout que j’étais dépourvu de mon atout majeur : ma vision.
Elle me tournait autour en gardant toujours une de ses mains en contact avec ma peau, alternant caresses et griffures tandis que ses lèvres déposaient de doux baisers sur mon cou, m’embrassant et me mordillant comme elle aimait le faire, alors qu’elle passait ces mains sur mes fesses par-dessus mon jean. Avec le temps elle avait appris à contrôler ces morsures pour les rendre douloureusement exquises.
— Pourquoi ris-tu ?
— Je viens de penser que j’allais te laisser a b u s e r de moi.
Je ne pus me retenir de rire et elle en fit de même
Je sentis un frisson me parcourir l’échine lorsqu’ elle plaça sa main fraîche sur ma hanche et ses lèvres chaudes entre mes omoplates. Je sentais son souffle sur ma peau, me procurant de doux frissons qui suivait ma colonne vertébrale avant de se perdre entre mes reins et mon sexe déjà dur. Chaque centimètre de peau en contact avec ces lèvres s’embrasait, m’électrisant de millier de petites décharges se terminant toutes au bout de mon gland. Elle faisait glisser ses mains le long de mes flancs, caressant mes hanches, venant titiller ma ceinture abdominale pour remonter toujours sensuellement vers mon torse alors qu’elle se collait de plus en plus à moi. Je sentais ses seins dans mon dos, ses lèvres parsemant toujours ses baisers sur ma nuque, mes épaules, mes omoplates. C’était comme si la moindre parcelle de peau qui se trouvait à portée de ses lèvres semblaient grisées par elles. Je sentais aussi la soie de son kimono glisser doucement sur sa peau.
Ses mains finirent par caresser mes fesses encore prisonnières de mon jean. Elle découvrit une petite zone érogène que même moi je ne connaissais pas juste dans le creux de mes reins. Lorsqu’elle s’en rendit compte elle y déposa ses lèvres ce qui me fit pousser un petit cri de surprise mêler de plaisir et au vue de ma réaction elle pris un malin plaisir à s’occuper de cette petite zone tandis que ses mains, après avoir fait le tour de ma taille, se posèrent sur ma boucle de ceinture, qu’elle finit par ouvrir très rapidement. Elle c’était relevé mais n’avait pas retiré ses mains, bien au contraire elles avaient fini par ouvrir le bouton et descendre la fermeture Éclair de mon jean.
Alors qu’elle me susurrait à l’oreille les choses qu’elle avait envie de me faire, elle passa les mains sur mon boxer caressant mon sexe dur et sensible, ce qui me tira un gémissement plus intense surtout quand ses mains se posèrent sur mes bourses. Elle en prit une dans chaque main alors que ses pouces, selon le mouvement remontaient le long de ma verge, appuyant légèrement sur la veine qui montait de mes bourses. Elle effectua ce mouvement pendant quelques minutes avant qu’une de ses mains se pose sur mon sexe et le caresse de bas en haut alors que l’autre massait mes bourses du bout des doigts.
Avec ce traitement mon cerveau commençait à dérailler. Son petit manège avait fonctionné car je me laissais porter par ce que mon corps ressentait.
Mais soudain, plus rien. Je ne sentais plus ses mains sur moi, ses seins me frôler, ses lèvres m’émoustiller. Le doute et l’ignorance m’envahirent me ramenant soudainement à la réalité. Après quelques secondes seulement alors que nous étions dans un silence total je finis par entendre ses talons frapper le sol. Elle se positionnait face à moi. Je ne savais pas quand elle allait à nouveau me toucher ni si elle se trouvait loin de moi, ce qui expliqua pourquoi je sursautai quand elle m’attrapa les mains.
Elle déposa ses lèvres, sur l’une d’elles, en de petit baisé, avant de prendre un de mes doigts entre ses lèvres pour savoureusement s’en délecter, jouant de sa langue. Elle finit par faire de même avec l’autre main.
Je me laissais faire. Je ne pouvais nier que cela soit agréable et la métaphore bien que gestuelle était sans équivoque. Je ne pouvais m’empêcher de sourire à l’idée de ce que ce geste signifiait. Ce n’était qu’un avant-goût de ce qui suivrait bien assez rapidement. Sentir son doigt entre ces douces lèvres alors que sa langue venait le lécher, c’était comme si elle se délectait de mon propre sexe. Ce qui m’excita d’autant plus c’est que tandis qu’elle s’amusait avec l’un de mes doigts son autre main caressait ma queue dont le gland pointait le bout de son nez, dépassant de mon boxer. Elle en profitait d’ailleurs pour passer son pouce sur ce petit morceau de chair qui dépassait, accentuant mon plaisir et l’illusion qu’elle me suçait.
Tandis qu’elle continuait ces douces caresses sur mon sexe d’une main, elle avait placé son autre main par-dessus la mienne, qu’elle dirigea vers sa mâchoire, de manière qu’elle se caressait le visage à travers moi. Elle me guidait vers la prochaine étape de son jeu. Je ne savais pas à quoi m’attendre.
À nous deux nous caressions sa peau… sa peau si douce. Elle menait la danse, les faisant glisser le long de sa mâchoire suivant les lignes de son cou puis les bords de son kimono, ce qui nous menait irrémédiablement vers l’un des objets de ma convoitise.
Toujours sous sa direction, elle appuyait sur le bout de mes doigts de manière à ce que ce soit mes ongles qui remontaient sur le renflement de ses seins tout en écartant légèrement le tissu fin. Il semblait que cela avait un effet certain sur elle car je la sentis onduler du bassin, fesses collées sur mon sexe.
Emporter par la musique d’ambiance qu’il y avait dans l’appartement, nos mains se mirent à danser sur sa peau malgré son kimono, le faisant remonter alors que mes ongles griffaient sa peau en douceur, butant sur le haut de ses bas, sur ses jarretelles. Plus ça allait et plus son kimono s’ouvrait, donnant ainsi accès à plus de chair. Plus elle faisait aller et venir mes mains sur son corps plus elle se blottissaient contre moi. Sa peau était si douce et son corps sentait si bon. Je finis par remarquer qu’à chacune de mes respirations son corps se mettait à onduler, encore et encore, collant ses fesses contre mon sexe. Je venais de comprendre que c’était une de ses zones sensibles, qu’un simple souffle pouvait agir en caresse délectable. Ressentait-elle le même effet que moi lorsqu’elle me caressait les flancs ? À première vue je dirais que oui aux vus de ses réactions. Elle frottait ses fesses contre mon membre, faisant glisser mes mains sur le renflement de ses seins, faisant aller et venir nos mains sur son corps. Elle se caressait à travers moi et c’était plutôt excitant. Nouveau mais très excitant.
Malheureusement plus elle se collait à moi et plus la tension se faisait grande, j’étais au bord de l’implosion. Je me retenais de ne pas retirer ce bandeau pour, lui retirer son vêtement, arracher sa culotte, la prendre par la taille pour la jeter sur le lit et la prendre encore et encore. Mais au prix de gros effort, je restais immobile la laissant faire ce qu’elle voulait de moi. C’était bien une forme de t o r t u r e car le rôle de dominer n’était pas dans mes habitudes.
Elle me fit lui retirer son kimono que je sentis glisser sur ses bras avant de tomber à nos pieds. Toujours dos à moi elle plaça nos mains sur sa généreuse poitrine toujours prisonnière de son soutien-gorge. Elle entreprit de faire glisser les bretelles sur ses épaules tout en continuant de se caresser à travers moi. Elle finit par lâcher mes mains et j’en profitai pour passer le bout de mes doigts sous le rembourrage de celui-ci dans l’espoir de pouvoir atteindre ses tétons. Lorsque je compris pourquoi elle m’avait lâché les mains je sentis son soutien-gorge tomber au sol dans un bruit sourd. Elle reprit mes mains dans les siennes afin de continuer son petit manège délicieusement érotique. Je me retrouvais à prendre ses seins dans chacune de mes mains alors qu’elle faisait aller de bas en haut ses pouces sur chacun de ses tétons. Je les sentais durcir sous nos caresses… Elle pencha légèrement la tête sur le côté et sans réfléchir j’y déposai mes lèvres. Au même instant elle laissa échapper un gémissement. Ne la sentant faire aucune esquive je continuais de lui dévorer le cou et le lobe de l’oreille, lui infligeant le même traitement qu’elle quelques minutes plus tôt.
Alors qu’elle gémissait son plaisir encore et encore je la sentis prendre ses tétons entre chaque pouce et index et commencer à les pincer doucement, jouant également avec ses piercings, qu’elle avait sur chacun d’eux. Je sentais son excitation augmenter au rythme de ses ondulations de bassin, de ses gémissements à sa respiration saccadée.
Elle abandonna ses seins pour faire aller et venir mes ongles sur ses flancs et l’ensemble de son ventre, effleurant le haut de ses dessous, faisant mine d’insérer un de mes doigts sous le tissu avant de continuer son chemin sur son aine et le haut de ses cuisses pour remonter sur les côtés.
Elle finit par se retourner et me faire face, à venir déposer ses lèvres juste aux coins des miennes, me privant ainsi de la douceur des siennes. Elle se mit à parsemer un chemin de baiser de mes lèvres jusqu’à mes tétons, qu’elle pourlécha. Elle s’en délectait comme elle aurait pu dévorer une glace, passant la pointe de sa langue sur le petit bout de chair qui durcissait au rythme de ses coups de langue avant de les mordiller, de les sucer, passant de l’un à l’autre. Elle savait que je n’étais pas trop fan des morsures mais ce soir, après tout ce qu’elle venait de me faire subir je trouvais cela vivifiant, voir même grisant, au point que je ne pouvais retenir mes gémissements qui se faisait plus nombreux et plus intenses car bien sur ses mains n’étaient pas restés à rien faire. Dans chacun de ses gestes je pouvais sentir son désir. Elle ne faisait pas cela que pour moi, pour mon plaisir mais également pour elle. Elle prenait grand plaisir à ma domination physique et sensorielle, cela l’excitait. Le mélange de tout cela démultipliaient ma sensibilité et mon excitation.
Malgré mon excitation physique je n’en étais pas moins frustré de ne pouvoir ni la toucher, ni la voir, ni même me régaler de son plaisir et de son corps. Je voulais pouvoir encore toucher sa peau, la parcourir de mes mains, la dévorer de mes lèvres à la recherche de toutes ses zones érogènes qui la feraient quitter terre, pour finir par l’attr a p e r par les cheveux l’attirant vers moi pour l’embrasser avec fougue et pénétrer son corps des heures durant pour nous amener tous deux jusqu’au paroxysme de la jouissance. Mon corps me poussait à reprendre le contrôle. Il voulait la faire sienne et dans une pulsion je finis par l’attr a p e r par les épaules, mon désir s’emparant de moi, je l’embrassais à pleine bouche, la tenant serrer contre moi, les mains sur ces fesses afin de sentir son intimité collée à la mienne.
Elle se laissa faire quelques minutes, ce qui ne calma en rien mes ardeurs et d’après ce que je pouvais entendre elle non plus ne semblait pas insensible à cette décharge d’énergie qui embrasa nos corps mais elle refréna très rapidement mes pulsions lorsqu’elle m’attrapa par les cheveux, faisant basculer ma tête en arrière.
— Tout doux, mon beau, dit-elle alors qu’elle tentait de reprendre son souffle, déposant de petits baisers sur ma mâchoire.
— Je n’ai pas pu résister. Mon désir de te faire mienne était plus fort que ma résolution de te laisser le contrôle de mon corps et mon plaisir.
— Pourtant il va falloir te retenir ou bien tu resteras dans cet état, dit-elle, alors qu’elle passait sa main délicatement sur mon entre-jambe tellement dur, me faisant geindre mon douloureux plaisir, car ce soir tu es à moi.
— Je n’ai pas vraiment le choix, dis-je en souriant, alors que je me tenais à elle car mes jambes peinaient à me maintenir debout, tandis que sa main continuait d’aller et venir le long de ma verge et que ses lèvres jouaient avec ma pomme d’Adam.
Cela allait être dur mais je ne pouvais rien faire d’autre, je lui laissais donc une nouvelle fois les pleins pouvoirs sur mon corps. J’étais torse nu devant elle, le pantalon ouvert sur mon boxer devenu trop petit, bien trop petit pour ce qu’il emprisonnait. Mon anatomie ne demandait qu’à être libéré de sa prison de coton. Alors qu’elle reposait ses douces lèvres sur mon torse, le parsemant ainsi de tendres baisers, mon souffle se faisait de plus en plus court et désireux, plus elle descendait vers mon Everest. Avec délicatesse, elle passa les doigts entre l’élastique de mon boxer et ma peau. Tout en embrassant la peau sensible de mon ventre, elle fit glisser mon jean et mon boxer par-dessus l’arrondi de mes fesses, libérant ainsi mon sexe gorgé de désir, puis le long de mes cuisses tout en continuant de déposer ses lèvres, en prenant soin d’éviter ma verge. Mon sexe palpitait sur ma peau, réclamant son attention pleine et entière.
Après m’avoir libéré de ces entraves, je sentis ces doigts, ou plutôt ces ongles, remonter le long de mes mollets, de mes genoux, de mes cuisses jusqu’à l’arrondi de mes fesses, ce qui me tira un sifflement dû à la sensibilité de ces zones, puis ramena ses mains vers le devant de ma ceinture abdominale, redescendant sur l’aine, frôlant mon sexe. Elle réitéra ce procédé plusieurs fois alors que je sentais son souffle non loin de ma queue. Chaque fois que je sentais ses ongles frôler mon aine mon corps se tendait vers elle, frissonnant, m’arrachant des gémissements gutturaux profonds. Mon désir se dressait, là, devant elle lorsqu’un spasme de plaisir brut s’empara de moi alors qu’elle soufflait légèrement sur mon gland. Elle finit par passer le bout de sa langue sur mon gland avant de simplement l’embrasser. Quelle sensation d’extase en l’espace d’une fraction de seconde !!
J’étais essoufflé, gémissant, mes jambes tremblaient de plus en plus, j’avais du mal à me tenir debout, ma peau était électrisée par cette adrénaline. Je savais qu’elle était là à quelques centimètres de moi, je sentais son souffle, ce qui m’excitait encore plus. Après quelques secondes de cette agréable t o r t u r e , je sentis le bout de sa langue asticoter de nouveau mon gland.
Je ne pouvais m’empêcher de penser « enfin » car malgré la douceur dont elle avait fait preuve il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait d’une vraie t o r t u r e des sens. Quoi que pas seulement pour les sens parce que mon corps avait également été mis à rude épreuve. Mon soulagement dû se noter car je l’entendis « sourire » à croire qu’elle avait lu dans mes pensées.
D’accord il s’agissait d’une épreuve délicieusement jouissive mais quand même. Le simple contact de sa langue sur mon membre était comme une libération de toute cette tension sexuelle accumulée dans ce laps de temps si court. C’est en pensant ça que je me rendis compte que j’avais totalement perdu la notion du temps.
Mais bon revenons à nos moutons. Après avoir joué de sa langue sur mon membre, me léchant les bourses jusqu’au gland ne laissant aucun centimètre lui échapper, elle me poussa sur le lit. Je lui en fut gré car je ne savais pas combien de temps encore mes jambes auraient pu me porter. Elle se plaça au-dessus de moi, toujours à me dévorer et me caresser, salivant plus que de raison mon sexe. Avant de comprendre le pourquoi du comment, elle le lova bien confortablement entre ses deux énormes seins, entamant un va-et-vient aussi efficace que s’il s’agissait de ses propres lèvres. Chaque fois que mon gland pointait le bout de son nez, sa langue venait le titiller, plongeant par moments son piercing dans l’ouverture de l’urètre ce qui me procurait une sensation aussi étrange que délectable.
Mon dieu quelle sensation exquise que celle-ci. Je pus d’ailleurs retrouver un semblant de masculinité. Le temps de quelques minutes elle me redonna partiellement le contrôle, c’est moi qui faisais aller et venir mon sexe à ma guise entre ces seins. Mais il fallait quand même que je me contrôle, que je me concentre car je sentais la jouissance monter dangereusement. Je devais résister, je ne pouvais jouir maintenant alors que le meilleur arrivait. Mon ego en aurait pris un coup.
Elle finit par priver ma queue de ce gant de velours dans lequel il c’était caché, pour l’emprisonner dans une autre cage de plaisir ; et quelle cage !!! Elle me prit à pleine bouche, commençant par téter mon gland très sensible, insérant petit à petit ma verge entre ses lèvres délicates en un va-et-vient doux et appuyé alors que je me sentais déjà au bord de l’orgasme. Elle dut le comprendre à la crispation de mon corps, à mes mains agrippant les draps autour de moi, à mes allaitements frénétiques car elle sortit les dents tout en allant et venant sur ma verge. La sensation de ses dents ne me faisait pas mal mais la sensation légèrement dérangeante diminua la pression s a n g uine m’éloignant ainsi de l’éjaculation.
Elle remplaça ses lèvres par sa main, me branlant en douceur, faisant délicatement redescendre l’excitation. De mon côté j’essayais de penser à des choses désagréables pour ne pas jouir, je ne voulais pas jouir maintenant, je voulais encore profiter de ses lèvres.
Elle me murmurait des paroles pour me détendre tous en baisant ma peau furtivement. Quand ma respiration se calma et que mes pulsations cardiaques ralentirent elle reprit mon sexe en bouche, la gobant entièrement en un seul mouvement…me faisant une gorge profonde. Ma surprise fut elle que mon corps se cambra autant qu’il le pouvait, me coupant littéralement le souffle alors que mes mains attrapèrent ces cheveux par poignées sur l’arrière de sa tête, pour la maintenir en place. Le plaisir de sentir mon gland buter sur le fond de sa gorge régala mes sens au point de me faire pousser un ra de plaisir puissant lorsque j’eus réussi à reprendre mon souffle. Sa bouche était magique. Je me demande si beaucoup d’hommes ont jamais pu résister à cette bouche. Elle savait parfaitement alterner vitesse et lenteur, délicatesse et fougue, la simple fellation à la gorge profonde tout en jouant avec sa main.
— N’oublie pas ta promesse.
J’entendis ces quelques mots qui semblaient avoir été prononcé dans le lointain tant leurs sons étaient atténués par mes halètements et l’écho de mes battements de cœur. Les avaient-elle seulement prononcés ? Ou les avais-je imaginés ?
Entièrement à sa merci, allongé sur ce lit, nu comme un ver, les yeux bandés, le sexe dur, droit, collé sur mon flanc. Il ne manquait que les menottes pour complété ce tableau. Est-ce-que c’est ce qu’elle cherchait alors que je ne sentais plus son contact?
Je ne savais pas où elle se trouvait ni ce qu’elle préparait, ce qui augmenta considérablement mon état d’excitation, créant un manque que je voulais combler au plus vite, comme un besoin vital que hurlait mon corps. Je ne voulais qu’une chose: qu’elle me touche encore. Je sentais mes poils se dresser sur mes mollets juste avant de sentir ses mains. Elles effectuaient leurs ascensions vers mon sexe de manière sensuelle et délicate gardant perpétuellement le contact. Mon cœur s’emballait alors qu’elle ne faisait que me frôler.
Je la sentis grimper sur le lit alors qu’elle décalait mon corps pour qu’on soit plus à notre aise. Je la sentis passer sa langue sur mes bourses, remontant tout le long de ma verge en jouant de son piercing avant d’asticoter de nouveau mon gland. Une fois bien installé elle me fit plier et écarter les jambes, faisant ainsi basculer mon bassin.
Je finis par sentir sa langue effleurer cette zone taboue pour chaque homme. Sa langue titillait mon anus. Je me délectais de cette nouvelle sensation bien que je me sentais vulnérable, exposé. Elle savait que c’était quelque chose que je voulais tester au moins une fois mais je n’avais, jusqu’à maintenant, jamais trouvé la personne avec qui je serais suffisamment en confiance. Et je devais avoir confiance pour lui laisser ainsi libre accès à mon corps, sans réticence, sans crainte, mais surtout je n’avais trouvé personne qui accepterait de réaliser cette expérience avec moi. Malgré mon désir de tenter l’expérience mon corps eut un mouvement de recul instinctif lorsque sa langue me lécha en de petits mouvements de bas en haut tentant par moment de me pénétrer.
Je devais admettre que pour le moment tout ceci était fort agréable. Sentir sa langue aguicher ma zone taboue alors que sa main allait et venait sur ma hampe. Se mélange de sensation était grisant.
Je sentais sa langue remonter jusqu’à mes bourses, qu’elle lécha avant d’en gober une, la prenant entièrement en bouche, la faisant rouler sur sa langue butant sur son piercing tandis que son doigt venait agacer ma rondelle humidifiée de sa salive, qu’elle tenta de pénétrer en de petites impulsions.
Elle finit par me reprendre en bouche alors que ces doigts s’amusaient toujours sur cette zone. Un de ses doigts finit par y déposer du lubrifiant, ce qui me fit légèrement me contracter, sûrement dû à la fraîcheur du gel qu’elle venait de m’appliquer.
— N’aie pas peur. Je ne veux te faire que du bien
Je voulais lui répondre que je n’avais pas peur, que je savais qu’elle ne me ferait pas de mal mais elle ne m’en lassa pas l’occasion car au moment où je voulus lui répondre un gémissement sorti de ma bouche plutôt que des mots. Elle venait de gober mon membre alors que son majeur commença à f o r c e r ma porte de derrière. Elle n’inséra, pour commencer, qu’une seule phalange, délicatement, puis le fit ressortir, répétant ainsi le processus, pour progressivement dilater mon orifice, aidé par le lubrifiant. Elle alternait parfaitement les coups de langue sur mon gland et sa pénétration anale. Elle se délectait de moi avec vigueur et plaisir. A n’en pas douter, elle adorait ça.
Elle allait et venait sur ma queue alors qu’elle me pénétrait plus en profondeur. Elle faisait venir son doigt en moi au rythme où ma queue allait et venait dans sa bouche. Me laisserait elle donner la cadence de sa fellation? Il semblerait que oui car elle me redonna momentanément les rênes. Je ne sentais aucune résistance face à mes mouvements de hanches pour baiser sa bouche de ma queue, bien au contraire. Elle finit par caler sa pénétration sur mes allers et retours entre ses lèvres.
Bien que je me contractais autour de son doigt, je devais admettre que c’était fort agréable de se faire sucer et doigter en même temps mais je n’osais lui demander d’essayer de mettre un deuxième doigt. Soudainement comme si elle avait à nouveau lu dans ma tête, je sentis un deuxième doigt venir se coller à celui qui allait et venait en moi. Grâce au lubrifiant et sa délicatesse, elle réussit à me pénétrer sans me faire mal.
Par de petit mouvements, elle tenta d’insérer ses doigts aussi loin que mon corps le lui autorisait, toujours en me suçant. On finit par reprendre le même manège, elle cala sa pénétration sur les mouvements de mon membre dans sa bouche. Je sentais ses doigts glisser en moi, c’était une sensation à la fois exquise et troublante. Je comprenais ce qu’elle ressentait quand je la prenais par derrière. J’espère juste que j’étais aussi délicat qu’elle l’était avec moi. À un moment elle stoppa ses va-et-vient sans pour autant retirer ses doigts. Je les sentais se courber légèrement de manière à ce que la pulpe appuie sur la parois de mon rectum, appliquant ainsi une pression suffisamment forte pour atteindre la prostate.
Et cette bouche ! Sa bouche, était une t o r t u r e digne de l’inquisition. Je m’abandonnais totalement à ce délicieux supplice, au plaisir qu’elle me donnait. Qui aurait pu croire que d’être ainsi à la merci des désirs d’une femme m’amènerait à me faire doigter le cul tout en me faisant sucer et que cela me procurerait autant de plaisir.
Elle avait réussi à me faire perdre complètement le contrôle de moi-même, perdant pied, totalement dominé par ce plaisir. Alors qu’elle accélérait sa fellation et sa pénétration, reprenant ainsi les rênes de ce jeu, mon corps fut pris de frissons, mon rythme cardiaque devenait frénétique tout comme ma respiration et mes gémissements. Ce fut sûrement la combinaison des deux qui finit par me faire basculer.
Mon plaisir était arrivé à son paroxysme et entre deux gémissements je réussis à hurler mon plaisir.
— Je vais jouir…
Alors que je prononçais ces quelques mots, mon corps se crispa, tendu par l’orgasme qui me foudroya, éjaculant sur sa poitrine si douce que je couvris de liquide blanchâtre.
Je m’effondrais sur le lit, aussi mou qu’une guimauve mais empli de bien-être. Mon corps était hyper sensible, le moindre contact me faisait gémir et elle en profitait. Elle me suça à nouveau me faisant trembler d’extase à chaque va-et-vient alors que ma queue perdait de sa vigueur ce qui ne semblait pas la gêner. Elle repassait sa langue sur mon gland, me tirant quelques petits cris d’extase. Mon corps était parcouru de petit soubresaut dû au plaisir et à l’hypersensibilité de mon membre. Ses mains effleuraient mes cuisses, mes hanches, ma ceinture abdominale, sa langue et sa bouche parsemaient mon corps de baisers délicats alors que je reprenais pied dans notre réalité.
Après ce qu’il venait de vivre, ce regain de douceur apaisait non seulement mon corps mais aussi mes sens alors que je reprenais mon souffle et mes esprits. Elle s’installa à califourchon sur moi avant de m’embrasser, elle profita de ce moment pour me libérer de ce bandeau.
Nous restâmes de longues minutes à discuter de ce qui venait de se passer, du plaisir qu’elle venait de m’offrir, de cette première expérience pour nous deux, qu’il nous faudra absolument répéter.
Je ne pensais pas que pour une première fois elle réussirait à me procurer autant de plaisir. Pour une première, c’était réussi mais maintenant je comptais bien prendre ma revanche et profiter à mon tour de son corps comme elle venait de profiter du mien.
La nuit risquait d’être longue, mais avant tout je devais reprendre mon souffle et des f o r c e s car elle m’avait vidé.
anastasia
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